Sujet :

Chroniques du titre non inventé

read is dead
   Posté le 14-07-2006 à 21:20:24   

Note de l'éditeur : Désolé pour ce titre moisi, mais l'auteur n'avait pas d'idée, et le service des titres à été viré pour son incompétence.

Note de l'éditeur : Encore désolé pour le service des notes qui a écrit sur l'ouvrage. Ceux-là aussi ont été virés.

Note de l'auteur (celle ci était sur une feuille) : Voici le premier chapitre de la saga d'antoine ! Vous découvrirez ses ppériples guildwarsiens, retrouverez des personnages connus, verrez d'autre fanatiques, a ce moment là de simple personnes. Cette histoire suit le plan historique et il commence au début de la saison du Scion.
La suite arrivera quand j'aurais le temps et l'envie.
Veuilleuez conserver cette feuille avec le livre, et ne pas l'écrire sur la page, comme ces c** d'éditeurs.

PS : laché D comzzzzzzzzz




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Chapitre 1 : un tas de ruine.

Eh merde… c’est dévasté ici…
Antoine rentre d’une longue expédition qui a suivit la castagne contre Vatlaav Croc funeste. Il est enfin revenu à la cité d’Ascalon, après deux ans de guérilla en terres chaars.
« Eh moi qui pensait que la cambrousse s’en remettrait… Mais non ! ça pue toujours la mort ici…pas croyable… »
Faut dire aussi que les assèchement d’eau ont gravement nuit à la reconstruction d’Ascalon. Sans parler de l’autre idiot de prince… et de son ordure de père… C’est mal barré.

Après une petite demi-heure de marche, la grande cité, euh je veux dire le ramassis de bloc de pierre qui autrefois formait une glorieuse cité, se profile. En fait c’est carrément pas un reste, c’est un trou ! Ils se sont installés dans le lac asséché !
Devant tant de destruction, Antoine n’eut qu’un réflexe –bien digne de lui- : ouvrir sa gourde de bière et boire une grosse gorgée. C’est à son grand damn qu’il but … La dernière goûte !

« Hého ?! Bruse ?! Benton ?! Z’êtes où les copains ?! »
Le bruit des colporteurs en rut masquait la pauvre requête de l’ignorant rôdeur, qui apparemment n’avait pas appris qu’il fallait gueuler comme un gros bœuf pour se faire entendre.

La recherche de nos amis chasseur fut interrompue par la découverte d’un étrange nécromant. Ceux-ci se doivent d’être sobre, genre la tête d’enterrement en permanence, mais contrairement aux autres gothiques en tout genre, celui-ci était étrangement gai. Faut dire, quand on est rond comme un tonnelet, c’est un peu normal d’être gai.

Après l’étrange bonhomme, Antoine tomba sur un certain Cortis le Croquemort. Avec lui, il pourrait savoir si Bruse et sa bande avait survécu.
« Eh merde… comment ça enterré avant-hier ? Non c’est une blague ! Ordure de croquemort, tu va m’le payer ! »
Après une explication plutôt… musclée, et quelques baffes en perdition, Antoine du se résoudre à la perte de ses amis chasseurs.

Soudain, les cors clamèrent et les trompettes sonnèrent. C’était l’arrivée de l’autre –je veux parler de sir Tydus-. Celui-ci recrutait des braves pour la croisade contre les charrs.
« Salut bon peuple ! Alors, vous êtes chauds ? J’entends pas assez fort, vous êtes chauds !?! Yeah ça balance ! Bip bip … !
-faudrait vraiment qu’ils pensent à réviser le personnel…
-Alors mes chers ascalonniens, qui c’est qui va se prendre des roustes par nos foutus envahisseur ?! N’y a-t-il pas un héros bien courageux pour accompagner notre bon prince ?!
-mwa chui 1 roxxor !!!!!!!! Répondis un guerrier armé d’une épée de dragon incendiaire.
-T’es fous ? Tu peux la ruine du royaume ? Casse toi sale boulet. Oh mais que vois-je ? Là-bas, oui, vous le rôdeur, là, oui, vous, ça vous tenterais de vous faire courser par une grande armée, pour laisser le grand rempart se faire envahir, et pour devoir remonter depuis le fort ranik, ensuite remonter jusqu’à surmia, pour ensuite…Ehh ?! »
Notre bon Tydus fut interrompu par un violent écrasage de pied, dont le souffleur était l’auteur. Celui-ci ajouta un « ta gueule, dévoile pas le programme ! », avant de revenir aux textes normaux… Faut vraiment qu’ils révisent le personnel royal…
« -Oui bon, je disais, vous le rôdeur, voulez vous devenir tout bêtement un grand héros ?
-Euh ça dépend, c’est bien payé ? J’ai le droit à des congés ? Est-ce que la bière est offerte ?
-Il a dit oui ! Acclamez bon peuple votre héros qui s’appelle ?!
-Euh Antoine…
-Très bien Antoine ! Vous êtes un sympathique héros ! J’espère que vous irez loin avec votre sympathie ! Que vous n’allez par vous faire ramasser par ces sympathiques charrs !
-Euh ouais bon, mais je dois faire quoi au juste ?
-Je vais vous montrer les superbes armée charr, et le terrain plein de bête prête à vous bouffer les c… euh je veux dire vous manger tout cru !
.Eh merde… je la sens bien cette aventure…

Fin

Sur un post-it est écrit : Auron, si tu cherches la bière, j’ai tout bu. Ah-ah-ah, je t’ais bien niqué. Signé Antoine.
read is dead
   Posté le 15-07-2006 à 12:47:42   

Sur un bout de papier : La suiiiiiite !


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Chapitre 2 : dévoreurs, bêtes poilues et autre merdier.

Antoine fut vite amené à l’écart par Tydus, afin que celui-ci lui explique sa mission.
« -tu vois là le type en armure blanche, il s’appelle Calhaan. C’est lui qui te donnera ta mission.
-Prend moi pour un con…
-Tout de même, tu as la chance de devenir un héros, j’aimerais un meilleur langage de toi Antoine.
-Tu peux toujours te faire mettre par un charr, je parlerais toujours comme ça.
-Très bien. Soldat, apportez le charr en cage, je veux lui faire quelque chose !
-J’veux pas voir ça… »
Antoine s’éloigna, dégoûté, de la scène qui aller se dérouler. Il entendit juste les cris du charr en rut. Espérons qu’il a une bonne pommade ce Tydus…
Antoine se dirigea vers le post avancé sur le grand rempart, afin de récupérer sa mission.
Le capitaine Calhaan s’avança
« -Vous revoilà, très beau travail. Quelles nouvelles des charrs.
-J’en sais rien, j’y suis pas encore allé. Tu t’es gouré de cinématique mon vieux.
-Ah merde, désolé. Bon, tu dois aller voir l’avancement des charrs. Pour ça tu dois passer leurs lignes, sans compter toutes les sales bêtes que tu trouveras en chemin. Tu dois bien sur les éliminer pour montrer ta vaillance.
-Génial… »
Plus tard dans l’après-midi, on pu voir un homme grossièrement déguisé en buisson traverser les terres au Nord du rempart.
Antoine arriva sur un petit surplomb, duquel il pouvait observer les camps charrs.
Soudain, il fut interrompu par un grognement.
« -Grwaar growar ! Graaaooooowaaaaaar (littéralement, ça donne : regarde l’idiot d’humain avec un camouflage a deux bales. Fred, Régis, attrapez le moi.)
-voie off : vous avez été repéré, a cause de votre camouflage moisi. Vous devez courir vous planquer.
-De l’héroïsme qu’il disait hein… »
Après une superbe course, Antoine arrive au rempart, visiblement mécontent.
« -Bordel ! T’es pas foutu de me filer un camouflage aussi moisi ! A cause de ça y’a une armée poilue qui nous tombe dessus… Bravo la technologie militaire…
-Vous revoilà, très beau travail. Quelles nouvelles des charrs.
-Gné gné débile, je viens de la dire, l’armée nous tombe dessus.
-Ton rapport n’est pas clair soldat !
-ah euh ouais…hum hum… Brulefour et l’armée charr ! Ils arrivent ! Par malheur j’ai été repéré, en ce moment même ils se dirigent vers le rempart !
-Ben tu vois mon garçon, tu sais t’exprimer… QUOI QU’EST CE QUE TU DIS ?? Et galère et merde ô merde et merde… Bon sonnez la retraite, on se barre se planquer à fort ranik. »
Et après il dit que je dois mieux parler…
Bon faut pas que je traîne moi…

Fin

Sur un post-it : qui ni pete ni rote est voué à l'explosion
Auron Le Tenebreux
   Posté le 15-07-2006 à 13:33:39   

-ah euh ouais…hum hum… Brulefour et l’armée charr ! Ils arrivent ! Par malheur j’ai été repéré, en ce moment même ils se dirigent vers le rempart !
-Ben tu vois mon garçon, tu sais t’exprimer… QUOI QU’EST CE QUE TU DIS ?? Et galère et merde ô merde et merde… Bon sonnez la retraite, on se barre se planquer à fort ranik. »
Et après il dit que je dois mieux parler…
Bon faut pas que je traîne moi…
xD

pas mal jaime bien, c'est une bonne idée ca permet d'eclaircir listoire RP.
read is dead
   Posté le 15-07-2006 à 14:05:49   

Ah enfin une réponse

Sinon, le but de l'histoire est aussi de...m'occuper^^ je m'emmerde^^
fred, régis, chopez le moi
bilvrag du 92
   Posté le 15-07-2006 à 18:38:55   

Godd.J'aime bien.
De bonne tournure de francçais, de l'humour, du language grossier, de la biere, il ne manque plus que les femmes.^^
read is dead
   Posté le 15-07-2006 à 18:53:17   

T'inquiete, on a pas encore croisé norua
bilvrag du 92
   Posté le 15-07-2006 à 18:54:37   

Je ne parlais pas de ce genre de femme^^
read is dead
   Posté le 15-07-2006 à 19:15:51   

T'inquiete, tu l'auras ta scène X

Sinon, avant le X, je vous programme du gore.
read is dead
   Posté le 15-07-2006 à 19:16:23   

Note : Attention ! Vous allez lire le chapitre trois, plus de deux pages de gore !! Antoine déchainé comme vous ne l’avez jamais vu ! Le contenu de ce chapitre peut heurter la sensibilité des plus jeûnes ! Vous allez entrer dans un monde ou règne l’horreur, la terreur, le carnage, assaisonné au sang chaud !



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Chapitre 3 : à la guerre comme à la guerre !

C’est trois jours après la retraite ascalonnienne que la contre-offensive fut déclarée. Les soldats crevaient de faim, bouffaient tout ce qui passait sous la main. Il fallait qu ça cesse.
Antoine reçu les ordres d’infiltrations, destinés à la conduire jusqu’à la porte frontière –et pour assurer un combat palpitant, je passe à la première personne-.

« -Vous devez remonter la vallée, et buter tout ce que vous trouver sur votre chemin. Est-ce clair soldat ? dit le seigneur darrin
-Bien sir ! Oui sir ! On va leur vomir leur viscères et bouffer leurs poumons à ces foutus charrs ! On va les étriper, ils vont mordre la poussière ! Répondis-je.
-Bien soldat, maintenant, faites votre boulot !
-Bien sir ! Oui sir ! »
C’est ainsi que je partis sur le front, pour rejoindre le commando d’armin saberlin.

« -Qu’est ce que tu glande comme ça !? Viens nous aider, espèce de chiure de Doylak !
-Bien maître Armin, j’arrive ! Tayaaauuuuu ! Tayaaauuuuu ! »
Le maître Saberlin tailladait les charrs, la cervelle déconfite volait, accompagnée de gerbes de sang, ça puait la mort, bordel de merde !
« Prend ça, enfoiré de mes deux ! » dit il avait de trouer le bide du charr. Les viscères tombaient, et Saberlin en avait jusqu’au genou.
Je tirai deux flèches qui se fichèrent dans les parties sensibles du charr, et celui-ci poussa un cri suraigu.
« -muahahah ! Your mother was a hamster, and your father smell of heldebury ! »
Les charrs prirent enfin la fuite.
« -Soldat Antoine ! Remontez tout seul jusqu’à la porte frontière, nous devons…hum…garder le fort !
-Tu me prends pour qui, boulet ?! Je dois aller me faire hacher là bas tout seul comme un con ?!
-Parfaitement, vas-y, sinon c’est mon pied au cul !
-Fais chier… Euh je veux dire bien sir ! Oui sir ! »
Qu’est ce qu’il faut pas dire… Bon aller, autant expédier ça tout de suite… marteau et faucille feront l’affaire !
J’remonte le lieux, et là, paf, patrouille de charr. Le premier, j’lui broye le crâne. Le second, lui casse les bonbons avec ma botte, et le dernier –le con il m’attaquais à l’arc-, je lui balance ma faucille en pleine poire. Avec le filet de sang qui suis bien sur. Il est repeint en rouge ! Bien fait pour sa gueule ! Faut pas m’faire chier moi…
Je continue sur le chemin, et là, une grosse proie… Spar le Ravageur… ‘Va être ravagé, oui. Je lui fonce dessus par derrière, et BLAM ! Coup de marteau en pleine gueule, j’entends les os de la mâchoire qui craque. T’en veux encore ? TCHAK ! Le visage complètement scalpé ! Y’a même les yeux qui retombent avec un joli « poc » C’est pas marqué mère thérésa…

Tiens, qu’est ce que je vois là. Un type ? Tiens l’est moche… Qu’est ce qu’il me veut, qu’il me dise, sinon, c’est la faucille !
« -Ces maudis charrs ont surgit alors que je réparais le trébuchet !
-Accélère empoté !
-Il manque un levier d’abaissement, une manivelle de déclanchement, et un pignon de rotation.
-Ben voila l’essentiel.
-Ramenez les moi, et je…BANG Notre maître de siège est interrompu par un beaucoup de marteau.
-La ferme, pas de paroles inutiles. »

Voila, sont là ces pièces mécaniques. Mais ?! Damned ! Les charrs se tapent l’incruste ! Pas de problème… slurp. Antoine lèche le sang sur la faucille, avant de l’essuyer.
Aller, à l’abordage ! Je vais vous en montrer un de pull…
Et TCHAK ! Lancé de faille entre les deux yeux ! Ahaha bouffon, t’en dis quoi ?
Antoine se retourne et assomme un charr guerrier-lame qui voulait l’attaquer de dos. T’as rien dans les couilles toi, pour m’attaquer en traître ! Pas de pitié pour les lâches !
Après quelques coups de marteau biens placés, Antoine peut enfin utiliser la catapulte.
« -Vas-y jacques, fait pêter la cata ! BOOM ! Vous avez senti vos chaires broyées sous l’explosion, les poilus ? Ahaha bien fait !

Après l’explosion, la voie est libre pour aller vers… le boss final ! (Tin tin tin !)
« -Gougnoubi agaga ? C’est bien un nom de boss charr ça ! En plus d’un sale nom, t’as une sale gueule ! Je vais t’arranger ça ! »
Après un pull raté à la faucille, celle-ci allant se ficher dans l’épaisse fourrure du boss, le combat commence. BAM ! Les orteils de charr écrasé par mon marteau ! Et quel con, t’aurais du te protéger au lieu de sautiller comme un ahuris ! Écrasement de crâne ! Ça te suffit pas ? Tu en veux du gore ? Et VLAM, CLAC, SPROTCH, la gorge ouverte avec la bouche…miam du sang encore chaud…

Rurik arrive, visiblement à la fois content et horrifié par le spectacle.
« -Ascalon ne vivra plus dans la crainte de ces créature !
-Ouaich, churtout pas avec la pranlé que ch’leur ai mi. Ajouta Antoine, avec un bout de chair charr dans la bouche.
-Prince Rurik ! Prince Rurik ! dit un garde, avec une voie de type qui a fumé la plante Aloes depuis sa tendre enfance.
-Prince, nous sommes victorieux, mais les charrs ont fait plusieurs prisonniers pendant leur retraite.
-Pas de problème, je vais leur déchiqueter la face ! Hurla Antoine ! On leur bouffera la gueule ! Vous verrez sales charrs, on exposera vos parties honteuses sur les pieux du rempart ! On vous bouffera la…

La fin de scène se finit avec Antoine qui hurle ses monstruosités.

Fin



Sur un post-it : ne vomissez pas sur la feuille, ce serait bête de gâcher un chef-d’œuvre pareil…
bilvrag du 92
   Posté le 15-07-2006 à 20:00:45   

C'est bien mais pas assez gore a mon gout ^^
J'espere que dans la scene 4 mon cher ecrivain glissera une scene X dans le script...^^Je sais je suis un pervers
read is dead
   Posté le 15-07-2006 à 20:24:02   

J'ai pas encore d'idée pour la scène X^^
Peut être quand on sera à l'arche...
M'enfin, je cale un peu.
Prochaine mission : Surmia ! (je programme zorphald au menu )
read is dead
   Posté le 15-07-2006 à 22:18:13   

Note : v'la la suite ! Marrant, chaques chapitre est plus long que le précédent...





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Chapitre 4 : preux chevaliers.

Trompettes et buccin sonnent.
« -Debout la d’dans, les feignasses, allez, vous avez du pain sur la planche ! Pas l’temps de glander ! »
Antoine est convoqué par son supérieur, le maître de guerre Riga, pour recevoir sa mission du jour.
« Bien Antoine. Vous gagnez en mérite, et aujourd’hui votre tâche sera de retrouver l’imbécile de fils du type qui nous gouverne, j’ai nommé, le prince Rurik. Il est partit dans la nuit à la recherche de prisonnier à libérer.
-Ils dorment jamais ces idiots de princes ? dit Antoine avec un gros bâillement
-Apparemment nom. Pour cette mission, je vous ai assigné un subordonné. C’est un guerrier moine, il vous aidera dans votre quête.
-QUOI ?? Tu me refiles un boulet ? Encore un qui sait pas s’exprimer et qui me hurlera dessus ? Je préfère y allez en solo si c’est comme ça. »
Antoine partit ensuite du bureau du maître Riga, afin de se préparer. C’est alors qu’un étrange chevalier l’accosta.
« -Hola, monseigneur ! J’ai ouï-dire que je serais votre compagnon de voyage ! Est-ce faribole des coéquipiers de la garde ou ais-je ouï-dire la vérité ? »
Non de non, déjà on me refile des quêtes suicidaires, et en plus on me donne un preux chevalier comme coéquipier… Il doit être meilleur à faire la cour aux dames qu’à se battre lui…
« -Euh… C’est toi le type qui me seconde… bon ben ça promet… comment tu t’appelles ? Euh je veux dire comment te nomme ton, toi qui sera mon compagnon de voyage ?
-Pourquoi un nom ? Qu’est ce qu’un nom ? Comme disait mon ancêtre, le grande Thomas de la lignée des…
-Accélère.
-Ah euh oui, je me nomme Zorfald, monseigneur. Je suis le fils du seigneur du comté de la grande…
-On en restera aux noms. Je suis Antoine.
-Bien messire Antoine. »

C’est ainsi que nos vaillant et courageux guerriers s’élancèrent sur leurs puisant destrier afin de secourir là… hum je m’égare… C’est comme ça que nos deux types durent aller se faire zigouiller pour rattraper un idiot de prince.
Après une demi-journée de marche, nos deux compères arrivèrent dans la glorieuse cité de… Je disais, la raclure de ruine qui formait la cité de Surmia, nuance.
Ils rattrapèrent l’autre idiot, euh le prince, déjà aux prises avec des dévoreurs.
« -Je te parie à un contre dix que le prince gagne. Tu tiens le pari ?
-Tenez bon mon prince ! Vous n’êtes pas seul dans votre combat ! Je dégainerais à vos côté et la victoire sera notre ! »
Je dois avoir la berlue… ils se dédoublent ces cons… un seul ça suffisait pas, ils nous faut deux Rurik maintenant…Je veux mourir…
A la fin du combat, Rurik apprit aux deux hommes la mission qui devait suivre.
« -Nous devons, au péril de notre vie, aller secourir les prisonniers. Même si cela nous coûte la vie, nos actions seront aux moins héroïques !
-Tu préfères quoi, vivre honteux ou être héroïquement six pieds sous terre…
-Tu es la maladie d’Ascalon, je suis ton onguent ! »


C’est ça le problème des trop courageux… quelque chose passe à côté d’eux, et ça fonce dessus… génial pour la discrétion.
« -Attendez moi, prince ! Mon épée de flamme accompagnera la vôtre ! Symbole de puissance, elle transpercera nos ennemis jusqu’à l’âme ! »
Le pire avec les type dans ce genre, c’est quand ils sont en groupe… La plaie…
« -Victoire les amis ! Prenez ça, dévoreurs, maudits que vous soyez ! »
Par contre, ce qui est bien, c’est que contre les ennemis nuls, on peut laisser ces idiots faire le travail…

Les débats intérieurs d’Antoine sur l’utilité des boulets furent interrompus par la trouvaille de prisonniers.
« -ça fait bien deux ans qu’on est là, et faudrait qu’on puisse partir….
-Mes braves, je vous libère ! »
Le chef des prisonniers expliqua qu’ils étaient autrefois des mages, de l’académie de Surmia, et que nombre de leurs confrères étaient encore en taule.
« -C’est hérésie que de laisser souffrir le bon peuple ! Nous libèrerons vos amis !
-Adieu bon feu et nuit bien confortable… »

Le groupe se mit donc en route vers l’académie de Surmia, qui se trouvait à quelques lieues. Arrivé devant l’entrée, ils constatèrent que le pont-levis était remonté.
« -J’ai vécu ici pendant ma jeunesse.
-Rien à foutre.
-Autrefois, c’était des plaines verdoyantes et des rivières.
-Rien à foutre
-Aujourd’hui ce ne sont que des marres de boue et des torrent de fange.
-C’est la vie mon p’tit gars…
-Vous devez rentrer dans l’académie et nous ouvrir le pont.
-Mais bien sur…
-Mon épée te curera l’anus, toi qui désobéis au prince ! Intervint Zorfald.
-Là au moins, c’est clair… Donc si je te suis, bien, en route… »

C’est après moult combats que les deux personnes purent ouvrir le pont-levis.
« -Bravo mes amis, je connais cet endroit, je vais invoquer quelque chose qui nous permettra de nous enfuir, car ici, ce n’est que désolation, et la pestilence fait que nous sommes…
-Ecrase, prince. »

Le groupe se mit en route vers l’endroit d’où le prince devait invoquer le portail.
« -Regardez mes amis ! Nous y sommes ! J’invoquerais le portail pendant que vous prendrez les coups des charrs à ma place !
-Euh… c’est une blague ?
-Je ferais tout ce que mon prince me demande ! »
Arrivé devant la porte, on entendait déjà les grouillements des charrs.
« -je dois d’abord invoquer l’ouverture des portes !
-Boulet, je les ouvre à la main… »
Les portes furent donc ouvertes avant que les charrs arrivent…Sur un piédestal, reposait une corne, ornée d’or.
« -Serai-ce la corne d’appelle de la tempête ?? Fit le prince, incrédule.
-On verra ça plus tard. Pas le temps de traîner. »

C’est donc sur l’action très héroïque d’Antoine qui arrache la corne des mains du prince que se termine cette mission. Ô Diable, l’ardeur de la bataille lorsqu’elle faisait rage restera gravée dans les mémoire ! Les ménestrels du duc Ansburg de la lignée du grand Thomas chanteront les vaillants exploits de nos valeureux et preux chevaliers ! La glorieuse victoire se célébrera dans les chansons ! Les exploit héroïques seront comté jusqu'à la fin des temps !.... (etc etc pour les plus cons)



Fin


Sur un post-it : Après tout, qu'est ce qu'un nom ?
Zorfald
   Posté le 16-07-2006 à 17:07:31   

Haha, j'aime bien ton manuscrit, pauvre gueux^^. Surtout quand il parle de mon ami, le renomée prince d'ascalon, le dénommé Rurik et de moi .

Vous etes le Sida et je suis votre préservatif !

(Mettez des capotes )

lol^^
Auron Le Tenebreux
   Posté le 16-07-2006 à 17:20:06   

lol toujours bien

mais...c'est moi le sadique dans l'histoire!!!
read is dead
   Posté le 16-07-2006 à 18:03:07   

mouais...
Sadique moyen... tu va juste préparer de la bouffe immonde
Sinon, t'es au programme, avec norua, pour le 5 (même si je cale d'idée en plein milieux^^)

Ensuite je ferai bilvrag et ses femmes
bilvrag du 92
   Posté le 17-07-2006 à 09:10:10   

Wé! Mais c'est les femmes et la biere n'oublie pas la biere!!
read is dead
   Posté le 17-07-2006 à 09:17:35   

Bilvrag et ses droles de dames. Bonjour bilvraaaaaaag
read is dead
   Posté le 17-08-2006 à 12:25:23   

Fiou, le voila ! Excusez mon retard, mais je calais sec.


Note : dans ce 5ème chapitre, vous allez découvrir ceux qui formeront plus tard avec Antoine un groupe bien connu.



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Chapitre 5 : Les branlots de service !

Beuargh… Les portails magiques, c’est pas pour moi… J’ai jamais eu les intestins en aussi grosse marmelade…
« -Soldat Antoine ! Comment avez-vous fait pour avoir un camouflage aussi réaliste !?
-Tu veux tout savoir ?
-Bien sur, expliquez moi tout !
-Viens sentir mes vêtements, idiot…
-Mmhh… Euh je ne préfère pas comprendre… Chacun ses petits secrets.
-Tarlouze…
-Un peu de respect ! Je viens vous parler de votre mission !
-Tu veux dire mon suicide prochain ?
-C’est cela même ! Vous devez lever le siège de Nolani, pour cela vous allez prendre un chemin très dangereux avec plein de monstres prêts à vous arracher les bras, vous bouffer les jambes, et jouer avec votre…
-Je veux pas savoir…
-Vous savez l’essentiel ! Maintenant ! Exécution ! Allez libéré ce foutu prince !
-Encore lui…
-Hélas… Mais pour cette mission, vous devez choisir deux coéquipiers parmis la foule de héros qui attendent.
-Tu veux dire que je suis pas « Le héros qui sauvera le royaume ? »
-Ben non ! Si tu crèves, comme on fait ? Hein ?
-Des remplaçant…je veux mourir… »

Après cette discussion, Antoine alla faire le tour des autres héros prêts à combattre. Il tomba sur une drôle de nécromante qui lui sauta dessus, malgré les efforts d’un autre nécromant –étrangement familier à Antoine, et que nous avons vu dans le chapitre 1- qui tentait de retenir la femme.
« -Lui Aurooooon je le veeeeuuuuuux !
-Arrête ça Norua, après tu t’étonnera pas qu’on nous fuie.
-M’en fout je le veeeeeuuuuuux !
-Euh, qu’est ce qu’elle me veut ? dit Antoine, Norua accrochée à ses pieds
-Non rien, c’est ma sœur… Elle fait ça à tout les gens qu’elle trouve mignon…
-Et comment on s’en débarrasse ?
-A moins de faire ce qu’elle veut, il n’y a pas de solution.
-J’en déduis qu’on va devoir faire groupe ensemble…
-Touché coulé.
-Damned… »


C’est donc le trio Antoine, Auron, et Norua qui partit pour sauver le prince du merdier dans lequel il s’était foutu. Nos trois personnes arrivèrent sur les remparts de Nolani, et ils y trouvèrent le prince.
« -Bon, vous devez risquer votre vie pour moi en faisant une sortie via ce petit chemin là-bas, bien sur il y a des dévoreurs, des charrs, des gargouilles, et plein d’autres sales bêtes. Vous devez tous les exterminer. Ensuite vous viendrez lever le siège de l’académie en tuant l’armée charr qui est à nos portes. Est-ce clair ?
-Pourquoi ces missions sont toujours aussi claires… On peut même pas avoir un espoir de ne pas se faire zigouiller… Damned… »
Le silence fut rompu par la voie de Norua.
« -C’est quoi ça ? Qu’elle dit en pointant le levier.
-Touche pas à ça !
-Oups, trop tard…
-Damned… »

Et voila, c’est ce qui arrive quand on touche quand on fait ce qu’il faut pas faire… C’est la galère…

« -Je vais découper le bras d’un serviteur mort vivant, le mélanger avec l’onguent démonique, un peu de poivre, du sang de moa, et on obtiendra Une mixture nauséabonde qui fera fuir les charrs ! Moi et ma sœur on sait bien faire les recettes de cuisine.
-Tu veux dire que tu manges ça… Je me sens pas bien… »

D’ailleurs, la baffe qu’Antoine se prit n’arrangea pas les choses….

« -Aller, du nerf, on a les charrs à nos portes, on va devoir combattre !
-Qui c’est celui là ?
-Plus tard les présentations ! Nous avons une bataille à gagner ! »

C’est comme ça que cet inconnu se joignit au groupe au groupe, afin de repousser les charrs. Grâce à ses sorts de feu, il pu tenir un moment les charrs en respect, le temps de faire venir la cavalerie…

Brooow brooow broooooow

« -Le cor du Gondor ! Boromir !
-Hola messire Antoine ! J’ai ouï-dire que vous aviez des ennuis avec les vils charrs ! Je suis venu prêter main-forte aux vaillants héros et à mon prince adoré !
-Damned… Pas lui… Je veux crever… C’est quoi cette équipe de branlots de service…. »

La glorieuse arrivée de messire zorfald déclancha réellement les hostilités. Nos vaillants compagnons firent une percée du siège pour assaillir les maudits charrs !
Grâce au nombre de combattants, la victoire fut pour les ascaloniens, et le vaillant prince Rurik pu alors mettre son plan à exécution, et moi j’arrête de parler comme ça, j’ai l’air d’un pécore…

« -Je dois rejoindre Rin, et avec la corne, nous allons vaincre ces maudits charrs !
-Si tu veux… Vas-y, je te laisse faire…
-Tu n’as donc pas envie de gloire ? Intervint l’étrange élementaliste. Le fric ! L’or ! La gloire ! La bière ! Les femmes ! Tu ne veux pas de tout ça ?!
Cette personne se la pétait décidément assez. Rien qu’à l’habillage, il en jetait. La robe brodée avec du fil d’or, la coiffure du play-boy, avec son lot de gel effet mouillé rare, qu’on ne trouvais que chez les riches, entant donné que le gel était fait à partir de glaire de marcheur de tempête. Ce devait être un noble, plutôt aisé. En tout cas il en donnait l’impression.

« -En tout cas, moi je vais suivre le prince. Ajouta-t-il. Ma cote de popularité montera bien si je l’aide, et je toucherais peut-être un peu d’argent.
-Nouvelle recrue : une fashion victime… damned… Et au juste j’me la pète, c’est quoi ton nom ?
-Quoi, je pensais que vous m’aviez déjà vu sur les magazines ascalonniens comme roxxeur, ou bien fashion victime des charrs ! Vous êtes des incultes ! Je suis Bilvrag Vaneson, le fameux.
-Celui à l’ego surdimensionné ?...damned… »

Après cette discussion, et grâce aux incessants appels de zorfald, nos aventuriers prirent là direction de Rin. Ils arrivèrent devant une première porte, gardé par quelques soldats ascalonniens. Ce fut le prince qui engagea le dialogue.

« -Ouvre cette porte toute de suite !
-Mais le roi nous pendra si nous le faisons…
-Rien à foutre ! Mon épée de dragon incendiaire va te nettoyer l’anus si tu ne fais pas ce que je te dis !
-Bon, d’accord prince… »

Poésie poésie…

C’est donc après cette tirade très poétique que le groupe se dirigea vers Rin. Après avoir passé quelques golems de caillasse, qu’ils arrivèrent vers une sorte de toboggan géant.

« -Yahoo, c’est lunaparc ! Banzaaaaaï !
-Noon Antoine… C’est pas comme ça que ça marche…
- Rien à foutre ! J’y vais !
-La corne d’appel de la tempête ! Cette arme est très puissante.
-D’abord Antoine, maintenant c’est le prince qui fout le bordel…gg. »

Broow ! Sacrément moche, ce bruit de cor de chasse. Z’auraient pu faire mieux tout de même… Mais bon, tant que ça fait mal au charrs… Eh non, les charrs, z’en ont rien à battre de cette corne ! Bravo les ascalonniens… La technologie militaire… Mon cul ! Donc reprenons : le vaillant prince Rurik avait soufflé dans la corne, aux détriment des oreilles d’Antoine, qui était juste à la fin de la corne, et apparemment aux détriments des charrs. D’ailleurs ont peut voir sous la barre de vie des charrs « corne d’appel de la tempête, -100hp maximum ». Bon, c’est déjà ça.

« -En avant braves ascalonniens ! Allons libérer Rin ! Pour le roi Adelbern !
-Qu’est ce qu’il dit ? Interrogea Antoine, la corne lui ayant visiblement bien bouché les oreilles.
-Il dit qu’on doit se faire zigouiller par les charrs. Version Auron
-Il dit qu’on doit aller l’aider, et que les paparazzi nous attendent. Version Bilvrag
-Il a humblement dit que notre vaillance serait prouvée au combat face à ces vils charrs ! Version Zorfald
-Il dit que je dois lui faire pleins de câlins après qu’il ait défait l’armée charrs. Version Norua
-Et qu’est ce que je dois choisir permis tout ça…
-Moi ! Moi ! Non moi ! C’est moi ! Moi, pas eux !
-Damned… Bon je suppose qu’on va encore passer au hachoir. Aller…go. »

Le groupe suivit donc Rurik, dans ta tentative de libérer Rin. Après avoir nettoyer la ville des soldats, Ils attaquèrent le boss final ! Boniface brûlefour !

« -C’est le con qui m’a fait courser ! Il va payer pour tout ce que j’ai enduré… A mort !!! »

Le combat n’était pas du tout équilibré, cinq branlots et un PNJ idiot contre un immense charr élémentaliste. Nos compères allaient sûrement crever, mais ils réussir à tuer la bête ! Un coup de bol sûrement… Mais bon, au moins ils ont gagné.


« -Bien fait ! muahahaha !
-Je vais faire une soupe avec ses couilles, et utiliser la moelle pour faire un coulis qui ira très bien pour déguster sa cervelle.
-Diable ! Que d’affrontement ! Même les ménestrels du duc de Ansburg chanterons cette épique bataille pour la fin des temps !
-Trop facile pour moi. Ne poussez pas pour les autographes, il y en aura pour tout le monde.
-Je vais faire un câlin à mon Rurik ! »

Broooow ! Décidément, ils aiment bien les trompettes, ces ascalonniens.

« -Le roi est là ! La chute de Rin l’a rendu triste…
-Pauvre précieux…
-Longue vie au roi adelbern !
-Rurik mon fils ! Vous êtes trop fort, vous avez buté les charrs qui nous avaient envahis ! On va gagner cette guerre !
-Non p’pa, leur armée est trop puissante, il faut fuir.
-Quoi ?! Sale gosse ! Ta mère et moi nous saignons aux quatre veines pour t’offrir une éducation et toi tu veux partir ! Je te renie en tant que prince ! Je te renie en tant que fils ! Je te bannis d’Ascalon !
-Pas glop le papounet…
-Peuple de Rin ! Vous devez partir, sinon vous allez tous crever ! Non je rigole pas, vous allez y passer si vous restez ! Suivez moi ! Traversons les cîmefroides, et vous me verrez peut-être crever !
-Mort à Rurik ! Nous vous suivons ! Acclamèrent la foule. »

C’est donc sur ce témoignage de loyauté du peuple que finit cet épisode. A bientôt dans le N°6 !


Fin !




PS : bordel, quatre pages word…
Norua la tenebreuse
   Posté le 19-08-2006 à 14:44:29   

comment dire...j'adorrrrrrrrrrrrrre!!!!!

euh juste qqch norua deteste les guerrier et surtt Rurik, mais c'est pas grave du tout packe l'histoire est magnifique!! encore encore encore!
read is dead
   Posté le 19-08-2006 à 14:46:31   

Désolé norua pour les massage forcés que t'as du faire à rurik alors

Et sinon, j'essayerais de te donner un peu plus d'importance pour les prochains chapitre, à auron et toi.
Norua la tenebreuse
   Posté le 19-08-2006 à 15:09:20   

C'est pas grave pour les calins^^ tu te rattrapera bien vite hein!^^
read is dead
   Posté le 19-08-2006 à 15:15:04   

Damned...La prochaine fois je ferme ma gueule...
Auron Le Tenebreux
   Posté le 19-08-2006 à 15:24:48   

j'aime beaucoup ! ^^
bilvrag du 92
   Posté le 21-08-2006 à 09:26:03   

Hé! Je ne suis pas comme ça! (Bon a part pour les femmes, l'argent et autres...)^^
Mais j'adore quand meme!
Zorfald
   Posté le 21-08-2006 à 09:39:15   

Moi aussi j'aime bien mais je me sent décridibliser^^. Comme pour Flavien, je pense pas que mon personnage soit comme ça .
read is dead
   Posté le 21-08-2006 à 09:56:05   

Désolé, je ne trouve pas de défault majeur à exploiter pour toi le monde (à vrai dire, j'en ai trouvé que pour moi ), alors je tente d'improviser^^

Un exemple : c'est dur d'écrire l'histoire d'un type qui n'existe pas (bilvrag a été supprimé depuis longtemps)
read is dead
   Posté le 23-09-2006 à 10:21:18   

note : Ceci n'est pas un chapitre a part entière, c'est une pause dans l'histoire


Chapitre 6.0 : La pause.



« -Fwaaaaaa ! Pas fâché d’avoir une journée sans emmerde, bien au chaud dans une fourrure de doylak ! »

Trois têtes apparaissent alors dans l’encadrement de la tente. A savoir Auron, Norua, et Bilvrag.

« -Saluuuuuut ! Je vais te faire un gros câlin dans toutes ces fourrures mon Antoine ! »

Norua voulut sauter sur Antoine, mais Auron l’attrapa au dernier moment, lui dit une clef de bras, la plaqua tête contre sol, et lui mit une baffe.

« -Ouiin…Méchant Auron…J’ai pas pu faire de câlins à mon Antoine…
-Ta gueule Norua.
-Bon, si vous avez finit vos enfantillages, moi j’ais des autographes à signer. Intervint Bilvrag.
-C’est ça, va voir tes paparazzi. Ajouta Antoine, mal réveillé. »

Après avoir chassé les branlots de sa tente, Antoine s’habilla, et sortit. Dehors, Auron et Norua faisaient de la…euh…cuisine, si on peut appeler ça comme ça. Bilvrag, quant à lui, prenais la pose pendant que des grands maçons nains le sculptaient en bas-relief. Après avoir finit ses poses, Bilvrag rejoint le groupe, désormais regroupé autour de l’étrange chaudron de Norua, qui bloblotait bizarrement.

« -C’est quoi ? Demanda Bilvrag.
-De la soupe ! Tiens, goûte ça ! Ajouta Norua, très contente.
-Hum, Bilvrag, t’es trop innocent, ça se voit que t’as pas goûté la bouffe de ces deux immondes cuisiniers. Fait gaffe, sinon, tu pleurera ton anus dans quelques heures, après de longs ballonnements, et crises d’aérophagie.
-Euh, c’est bon Antoine, tu m’as coupé l’appétit…
-gg Antoine. Intervint Auron. Pour la peine, tu vas goûter le reste de boniface que j’avais gardé.
-Euh…quelqu’un m’appelle… Donne le à Zorfald !
-L’est plus là.
-Eh merde… Il est partit où ?
-Il a fait un big run jusqu’à l’Arche, il devait prendre un bateau.
-Eh merde…Bon, ben je pense que tu vas manger ton bon repas tout seul !
-Non, Norua et moi on va tout te faire avaler ! »

Après d’interminables vomissements, Antoine retrouva le groupe, qui parlait devant des personnages étonnement peu vivant.

« -C’est qui ces six types ? Z’ont pas l’air vivace…
-C’est des mercos… Des boulets qui servent à combler les trous… Mais au moins, Stephan il roxxx. Répondit Auron.
-Eut mouais…Y’a moyen de trouver des compagnons plus...euh…vivants, pour continuer le chemin. Il parait que y’a des sales nains ici, il faudrait être six, c’est plus sûr.
-Ouais. Ma sœur traîne dans le coin. Elle cherche une moine. Et puis j’ais cru voir ta colloque Antoine.
-Read ? Yeah ! Et pour ta sœur, pas de prob, non plus pour la moine. Elle joue heal WoH sb/infuse protec SC ? Team split ac tank balanced tainted well ? Rainbow spike or blood spike ? Wimway ac R/N touch ftw. Roxxor.
-Euh Antoine, t’as abusé de PvP là... Dit Bilvrag, visiblement paumé dans le charabia d’Antoine
-Euh merde... Désolé. N00b.
-Y’a Squaaaaaaaaal ! Cria Norua, en voyant le rôdeur arriver, visiblement paumé.
-C’est bien ici Denravi ? Dit le paumer en question.
-… N’ajouta pas Antoine.
-Bon, viens avec nous Suqall, comme ça on a un groupe de huit. Mais c’est moi le pisteur et le pulleur !
-Euh ouais… Tant que je peux plotter la jolie rousse.
-Pas touche à la rousse !
-Rooo…J’ai plus qu’à me mettre à poil dans un tonneau…
-Boulet…
-Soeeeuuurette ! Viens voir ici ! Et viens avec ta moinette ! Cria Bilvrag. »

Une nécromante d’avança, suivie d’une petite moine. Elle était toute vêtue de noir, et ses cheveux violets ressortaient du lot avec leur couleur flash.

« -Quoi Grand frère ? Te suivre ? Mouais…pourquoi pas… Mais seulement si Medoc viens avec nous ! Je peux pas me passer de baiser de dwayna…
-Hein ? Avec une fille ? Beeeeeehhh… Antoine il est bien mieux ! Ajouta Norua.
-Damned… (C’est Antoine qui dit ça, au cas où vous l’auriez pas comprit)
-J’utilise Caresse de guérison sur Alexia De Sang !
-Euh ouais…si tu veux…
-J’utilise Caresse du vampire sur Medoc Express !
-Qui a dit sado-masochisme ?
-Ehhh ! Nous aussi on sait faire ça ! Double caresse du vampire des Tenebreux sur Antoine ! Dirent le frère et la sœur Tenebreux, avant de lancer les attaques sur Antoine
-Argh… Allons-y…sinon on va y passer… Sinon JE vais y passer…
-Oui, allons-y ! Je sens déjà les agences de mannequinât de l’Arche, ce sont les plus réputées dans le monde de la mode Tyrienne ! Mon corps de rêve en première page des magazines ! Mon sourire charmeur sur toutes les pubs… Mes superbes poses pour la ventes d’armes des façonniers…Les shoot de photo-parchemins pour les sous vêtements en dentelles de Denravi !.........
-Bon, ouais. Ta gueule, merci. Allez, on y va. »

Antoine et l’équipe de branlots se dirigea hors de la descente du yak.





Fin




PS : Oooo les joulis sous-vêtements en dentelle !


Edité le 07-06-2011 à 14:58:45 par read is dead


read is dead
   Posté le 23-09-2006 à 10:25:53   

Chapitre 6.1 : La meute des Nabots des Cimes, les chevaux zarbs des neiges, et je sais plus quelle connerie…

« -Hep Roger, passe moi le PQ !
-J’arrive Michel. »

Roger n’eût pas le temps de donner le PQ à Michel. Une flèche lui transperça l’œil. On pouvait même voir la pointe ressortir de l’autre côté du casque.

« -Wééé ! J’ai eu la tête ! Dix points ! Cria Antoine
-Bravo ! Moi j’ai eu le bide de l’autre. Ajouta Squall
-Euh…J’ai eu l’arbre, à trois mètre de là… Mais tu m’aimes encore Antoine ??
-Euh, je t’ai jamais aimé… C’est ton histoire à toi ça…
-Oiin ! Je suis triste !
-Bien fait !
-Rôôô, vos gueules ! Venez, on va dépouiller les nains. Intervint Auron
-Je ne me rabaisserais pas à ça…Mon image de marque en prendrait un coup.
-Mais non ma précieuse… Regardez ! De la merde de nain ! C’est un met très rare dans le bouffe nécromante ! Vite, il faut la manger pendant qu’elle est encore chaude !
-T’es vraiment immonde Auron !
-Tu n’aimes pas la nourriture nécromante Antoine ? Intervint Alexia.
-Eh merde…Maintenant, il sont trois… ça va être plein de vomis, sur le bivouac…
-Ne t’inquiètes pas Antoine, Read et moi on va tout nettoyer. »

Antoine se mit à pleurer de joie.

« -Alléluia…Des membres normaux…snif.
-Antoine chéri ! Viens manger le café au caca que je t’ai préparé avec amour !
-C’était trop beau pour être réel…Donnez moi une corde…
-Ah non, je suis pas nécrophile !
-Fermez là tous… Je veux repartir…
-Antoine a raison. La mode de l’arche n’attend pas ! Allons aider le prince au passage de Borlis ! »

Notre groupe arriva jusqu’au passage de Borlis, après avoir affronté divers nains, centaures, et golems de glace. Ils arrivèrent devant un gardien de porte, qui portait une torche.

« -Vous devez allumer les fanaux, sinon notre peuple mourra de froid.
-Et le charr, il met la bière de nain dans le rouleau de damas.
-Ha-ha. T’es un petit rigolo toi. Aller, prend cette torche, allume les fanaux, et ensuite, va aider le Prince.
-Rôôô, ils ont pas d’humour les PNJ’s… Bon, je suppose que je dois prendre la torche.
-C’est bon, je la prend, je n’ais pas besoin d’attaquer avec mon bâton, je lance juste des sorts de soin.
-AA…Elle est parfaite cette Medoc… »

Le groupe suivit le chemin, et arriva devant un groupe de centaure. Ils étaient encore cachés derrière un rocher, et ils décidèrent de faire le plan d’assaut.

« -Bon, on ligote Norua, et Squall et moi, on pose pleins de pièges autour. Quand ils arrivent, Norua, si tu peux te prendre quelques coups, c’est pas plus mal.
-Oin… Mais je vais quand même faire des sorts, et de la cuisine. Ne les brûlez pas trop avec vos pièges de flamme.
-Ouais ouais.
-Je porte le set Gordac.
-Je porte le bâton de Milthuran.
-C’est grand frère, il est pété de thune, il me les a acheté. Mais comme à chaques fois il s’est fait arnaquer d’au moins 10k, il l’a un peu mauvaise. »

Le visage d’Auron passa au blanc.

« -Dis Alexia…Tu me l’échange…ton Milthuran…Contre mon super bâton de malédiction 10-21 requis 11, santé + 24 énergie +4… S’il te plaît…
-Non, va chier ! C’est de la camelote tes trucs !
-snif…
-Ahaha ! Auron qui pleure ! Ahahahahahaha
-Ta gueule Antoine…snif.
-Bon, on les attaque, ces centaures. Je sens déjà les drops de pièces d’or ! Ajouta Bilvrag.
-d’accord. Gooooooooo ! »

Après avoir tué le groupe de centaure, et après qu’Auron –pour se venger- ait forcé Antoine à lécher les blessures de Norua, Nos branlots purent se diriger deux fanaux.

« -Euh, c’est moi où on se fout de notre gueule ?? Les fanaux sont côte à côte !
-Faut pas chercher à Comprendre, ces nains sont pas très fute-fute. »

Ils se dirigèrent vers le dernier fanal, qui était gardé par un type entouré de rouge.

« -C’est un élémentaliste, comme moi ! Ses pouvoirs sont peut-être supérieurs aux miens ! S’exclama Bilvrag.
-ça doit pas être bien dur…
-Connard.
-Rôôô…
-Bon, on l’attaque ? Je peux l’interrompre, et Antoine aussi. Il ne va pas caster un seul de ses sorts ! »

C’est ce qui arriva. Sous La pluie de tir de diversion, le boss centaure ne pu rien invoquer. Il fut explosé et ensuite transformé en hachis Parmentier par Auron, Norua et Alexia.

« -Qui veut de notre bon hachis ! En plus, on a trouvé pleins de scalps humains dans ses sacoches, alors on les a mélangé à la viande et au sang !
-Je crois que je vais être mal… »

Après que Bilvrag ai vomit ses tripes contre un arbre, et que la gerbe ai été mis dans l’outre d’Auron, Medoc alluma le dernier fanal, et Antoine se dirigea vers le garde de la porte.

« -Allumez les fanaux et rendez moi la torche. J’ouvrirais alors la porte.
-Allumez les fanaux et rendez moi la torche. J’ouvrirais alors la porte.
-Allumez les fanaux et rendez moi la torche. J’ouvrirais alors la porte.
-Allumez les fanaux et rendez moi la torche. J’ouvrirais alors la porte.
-ça sert à rien de lui parler Antoine, C’est Medoc qui a la torche.
-J’arrive j’arrive ! Dit l’intéressée. »

Le garde ouvrit enfin la porte, Et le groupe entra dans le fort du sommet de pierre.
Auron s’approcha vers un amoncellement de tonneaux nains.

« -De la bière !!! A boire !!! Hurla Auron, hors de lui. Il commençait déjà à boire quand Antoine l’arrêta.
-C’est de la poudre Auron…
-Hein euh quoi ? QUOI ? Kof kof ! Puerk ! »

Après qu’Auron ait recraché toute la poudre qu’il avait ingurgitée, le groupe se dirigea vers la seconde porte, Alexia et Squall prenant des barils de poudres. Ils tombèrent nez à nez avec un boss guerrier, un doylak, et un berger géant… Génial.

« -Ehhh merde ! Vite, Auron, pose un ss sur le boss.
-J’ai pas ss, c’est pas de mon niveau…
-Et galère… Bon démerde toi ! N faites 1 blood spike on G wamo ! GO GO Squall interupt doylak, cause il heal ! GO GO LOL ! Roxxor ! Read BL berger ! M 1 WoH on Auron ! G/M FTW !! Rurik président ! Roxxxxor !
-Euh, c’est bon Antoine, on les a tué... Plus besoin d’hurler à St-Roxxor.
-TG n00b. Ah euh...hum hum, je voulais dire que je faisais ce que je voulais. Pardon
-Bon, j’en fais quoi de mon baril ? Intervint Squall.
-Pose le contre la porte. »

C’est ce que fit Squall. La porte volait en éclat lorsque le groupe la passa. Ils arrivèrent derrière des nains, qui s’amusaient sur des balistes.

« -Trop bon ! On les tape et ils font rien ! Ahahaha ! Quels idiots !
-L’IA est à revoir…Ajouta Auron.
-Clair. Ahaha.
-Euh, y’a quoi de si drôle ?
-Je ris tout le temps !
-… »

Après avoir tué les ingénieurs, ce qui n’était pas bien difficile, le groupe pu enfin entrer dans la vallée de Krok. Le prince Rurik les y attendait.

« -Ah mes amis !
-Je suis pas ton ami…
-J’ais été retenu dans la vallée de Krok, lors de l’attaque du sommet de pierre.
-Bien fait pour ta tronche.
-Je lèverais bien une chopinne en votre honneur…
-Rurik a dit une chose intelligente ! Ce jour est à marquer d’une croix !
-…Mais nous devons d’abord nous assurer que notre peuple est en sécurité.
-Quoi… NoOoOoOon !
-Je vous conseil de parler au roi Jalis Martelfer, il vous aidera à passer le col.
- Si on n’a pas le choix… »

Le groupe se dirigea vers le nabot, qui portait une (autre) torche.

« -Salut le nabot !
-Ah, mes amis ! Vous êtes les amis de Deldrimor donc mes amis.
-C’est très con ce que tu viens de dire, je sais pas si tu t’en rends compte.
-Vous êtes mes amis. J’ais décider de vous aider, comme j’aiderais des amis.
-J’ai rien dit. T’es trop con pour penser.
-Voici la flamme bleue de l’amitié. Elle permet aux amis de passer les montagnes.
-Merci mon copaing …Gné Gné…Mongol… »

Nos branlots adorés partirent vers l’autre porte, Medoc ayant reprit la torche.

« -Regardez, de braves nains viennent nous aider ! Cria la moine.
-Cool, c’est pas nous qui prendrons les coups.
-C’est cruel Antoine.
-C’est trop innocent, Medoc. Muahaha ! »

Le groupe suivit les nains, qui se faisaient zigouiller petit à petit. Ils arrivèrent devant un croisement.

« -Regardez, les nains partent de ce côté, nous devons les aider !
-Mais non, grouillons nous, on va profiter de leur diversion pour foncer sans emmerde dans l’autre chemin !
-Héé Antoine, j’ai pas eu le temps de ramasser les scalps des nains, ni de broyer leurs ongles pour assaisonner !
-Rien à foutre ! C’est des maux d’estomac qu’on n’aura pas ! »

Le groupe courut vers le monstre fanal qui se dressait, pendant que les gentils nains se faisaient trucider par les méchants nains pas beaux qui puent. Tant pis pour eux, un PNJ n’a pas d’âme.

« -Le grand fanal ! Nous y sommes bientôt ! Je sens déjà un bon feu, un lit douillet, et une bonne bière !
-Et une nuit fougueuse d’amour avec mon Antoine !
-Euh non Norua… Pas tant que ça…je tiens à ma vie tout de même… »

Alors qu’ils imaginaient déjà leur repos, la bave aux lèvres, un gros berger du sommet leur tomba dessus.

« -Rôôô, y’a toujours un fumier qui viens m’interrompre pendant ma dégustation de bière imaginaire !
-Et pendant ma nuit d’amour imaginaire !
-A mort ! Il m’a interrompu dans l’imagination de mes recettes de bouffes naines nécromantes ! »

Après avoir explosé la tête du berger, et de ses deux petits copains qui avaient rappliqué, le groupe pu allumer les fanaux… Et la camera bougea d’un coup, pour aller se poser sur la tronche de quelques nains, malgré les protestation de Bilvrag, qui voulais que son visage reste bien cadré

« -Hey les gars, z’avez vu, les fanaux sont allumés. Ils doivent avoir bu un coup de trop.
-Ouvrez moi ! Au nom d’Ascalon !
-Quoi ? Le Kevin ? Ici ? raaa… Capitaine, ouvrez lui.
-J’y vais, sieur brechnar. »

Le capitaine nain ouvrit la porte, et le prince entra dans la cité naine. Le nain Brechnar l’accueillit.

« -Je suis Brechnar ! Seigneur, des gorges de Google. Chez moi, on utilise la fonction rechercher, et les forums sont bien clair, et y’a pas de flood.
-Je suis Rurik d’Ascalon. Chez moi, c’est tout dévasté, et les vendeurs floodeurs sont multiples.
-Bon, ben alors je t’offre l’asile. Mais si tu flood comme un porc, je te fout le manche de mon marteau là où je pense !
-Glups. »

Vous croyez sûrement que c’est finit ? (Euh ouais) Eh bien non ! Si vous regardez bien dans le haut de votre écran, vous voyez notre groupe de branlots qui courre dans la neige.

« -Attendez nous ! On veut à boire !!
-Je veux De la bouffe !
-Je veux un câlin !
-je veux une arme verte et des pièces d’or !
-Je veux séduire les naines !
-Je veux faire pleins de baiser de Dwayna !
-Je sais pas ce que je veux faire, mais je veux faire quelque chose ! Je sais pas quoi car je suis un gogol !
-Je veux suivre le groupe parce que j’ai pas eu de bon rôle dans cet épisode !

Ce fut brechnar qui répondu.

« -Euh...Les gars…Si on fermait les portes avant que ces fous arrivent… ? »




Fin